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Les fondateurs

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« J’ai découvert l’existence des nombreuses forêts de mémoire à travers le monde il y a plusieurs années. Il y en a tout autour de chez nous. Plus de 200 en Angleterre, une cinquantaine en Suisse, en Allemagne, quelques-unes en Hollande, au Luxembourg. Mais également plus loin, aux Etats-Unis, au Canada, même en Corée.

 

D’emblée, j’ai été séduite par cette solution qui n’isole pas la mort de la vie et qui offre de la douceur et de la sérénité dans ces moments les plus douloureux de nos vies. Les enfants peuvent aller à droite à gauche, courir. Les balades peuvent s’y faire en famille. Un deuil reste un deuil mais la mort devient ainsi beaucoup moins tabou et la vision que l’on s’en fait peut s’adoucir.

 

A travers cette fondation, je souhaite que l'on puisse offrir aux personnes qui partent un lieu de paix représentatif du souvenir qu’ils souhaitent laisser à leurs proches mais également aux personnes endeuillées des lieux apaisants et de vie afin de leur permettre de se reconstruire. »

« En 2013, Alexia recherchait quelques conseils et avis forestiers sur une idée en germination : proposer des lieux de mémoire dans la nature, notamment en forêt. Rapidement, j'ai été séduit par cette idée qui répondait parfaitement à ma vision d'une forêt multifonctionnelle, c'est-à-dire une forêt qui, simultanément, produit du bois, accueille la biodiversité et répond aux attentes sociales.

 

Avec Alexia d'abord et Michel ensuite, nous avons défini les bases permettant que les activités des "Arbres du Souvenir" soient compatibles avec le fonctionnement de l'écosystème forestier.

 

En tant qu'ingénieur forestier, mon rôle dans "Les Arbres du Souvenir" est d'assurer la gestion et l"aménagement du milieu naturel forestier. Ce milieu devra être accueillant tant pour les familles que pour la faune et la flore forestière. »

 

​« Les Arbres du Souvenir apportent une réponse à un besoin que j'éprouvais depuis longtemps : pouvoir en famille se retrouver, se recueillir et se ressourcer auprès de nos proches disparus dans un endroit de "vie" plutôt que de "mort" tels que les cimetières qui personnellement ne m'attirent pas.

 

Avec Alexia et Olivier nous souhaitons que ce projet soit un réel projet citoyen, et dans ce sens,  je tente d'y apporter mes connaissances et mon expérience en gestion de projet et entreprenariat social. »

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